Un marché physique de bois pour freiner la fraude
Une reforme pour mieux gérer la traçabilité des produits forestiers
Dans le souci de préserver les ressources forestières, par la mise en œuvre des mesures relatives à la légalité dans l’exploitation et la commercialisation du bois, le ministère de l’environnement et des ressources forestières (MERF) a initié le projet de création dans la ville de Lomé et de ses environs, un marché physique national de bois d’œuvre. Une mesure pour mettre fin aux multiples dépôts ou parcs à bois illégaux.
Lomé dispose de plusieurs entrepôts et parcs de bois destinés à l’exportation et à l’usage domestique, censé accueillir tous les bois, mais certains exploitants véreux, passent outre, ce qui complique le contrôle de l’administration forestière. D’où l’idée de création d’un marché physique de bois qui a commencé par une étude prospective validée le 5 aout 2016.
Avantages du marché de bois
Il devrait à terme permettre de supprimer les multiples dépôts ou parcs à bois dans la ville de Lomé, mieux réglementer le secteur et éviter surtout les fraudes constatées çà et là. En dehors de ce contrôle, Il sera aussi un pôle d’échanges où toutes les informations relatives aux bois seront centralisées pour les nécessiteux.
Ainsi trois (03) commissions constituées des parties prenantes ont été formées pour examiner le document qui a été adopté cette approche participative a permis de prendre en compte les points de vue de tous les participants.
Une fois cette étude validée, une autre étape s’ouvre avec la définition de la stratégie pour la mise en place de ce lieu d’échange commercial, tout en apportant des orientations et des mesures pour sa gestion efficace. Au-delà de cette étude d’autres seront élaborées afin de définir les caractéristiques et le système de traçabilité de celui-ci.
La création du marché est bénéfique pour les exploitants et commerçants de bois mais aussi pour les clients et l’administration forestière à laisser entendre le directeur de l’Inspection des Ressources Forestières, M. Folly Djiwonou.
Ainsi trois (03) commissions constituées des parties prenantes ont été formées pour examiner le document qui a été adopté cette approche participative a permis de prendre en compte les points de vue de tous les participants.
Une fois cette étude validée, une autre étape s’ouvre avec la définition de la stratégie pour la mise en place de ce lieu d’échange commercial, tout en apportant des orientations et des mesures pour sa gestion efficace. Au-delà de cette étude d’autres seront élaborées afin de définir les caractéristiques et le système de traçabilité de celui-ci.
La création du marché est bénéfique pour les exploitants et commerçants de bois mais aussi pour les clients et l’administration forestière à laisser entendre le directeur de l’Inspection des Ressources Forestières, M. Folly Djiwonou.
