Le programme WACA officiellement lancé au Togo
Les ministres des pays du littoral Ouest Africain se mobilisent pour renforcer la résilience des zones côtières.
Le projet régional sur l’érosion côtière et l’adaptation dans les zones côtières d’Afrique de l’Ouest a été lancé ce 19 octobre2016 àLomé. Durant trois jours, les experts des pays concernés par le programme de gestion du littoral d’Afrique de l’Ouest (West Africa Coastal Areas WACA), vont échanger sur le contenu des différentes études et activités prévues dans le cadre du projetafin de définir les bases pour sa mise en œuvre harmonisée.
Ce lancement a consisté à la présentation du programme WAKA, ses principaux axes et modalités d’intervention ainsi que les enjeux intersectoriels aux échelles locales, régionales et internationales.C’était aussi l’occasion pour définir à l’échelle des quatre premiers pays impliqués les modalités d’engagement du programme plus large de l’Afrique de l’Ouest.
L’une des menaces à laquelle les pays devraient faire face est l’élévation du niveau marin qui, selon les tendances actuelles, va continuer à s’accéléreren amplifiant le recul du trait de côte.
Par ailleurs, il est important de souligner que le phénomène d’érosion côtière dépasse le cadre purement national et nécessite des efforts communs au niveau régional.
Selon les statistiques, le littoral héberge actuellement 31% de la population ouest africaine et 51% de la population urbaine et que les scénarios, entre 74 et 83 millions de personnes résideront en zone côtière d’Afrique de l’ouest à l’horizon 2050, la mise enplace d’un plan de gestion d’investissement multisectoriel pour une meilleure coopération est indispensable.
En marge de cet atelier de lancement du projet WAKA, une réunion de haut niveau s’est tenue , le 21 octobre 2016 et a réuni les ministres en charge de l’environnement, de l’érosion côtière et de la planification du Bénin, de la Côte d’Ivoire, de la Guinée-Bissau, du Sénégal, du Ghana, du Nigeria, de la Mauritanie, de Sao Tomé-&Principes et du Togo. Les ministres ont exprimé leur satisfaction sur les résultats obtenus et ont félicité la Commission de l’UEMOA, la Banque Mondiale, le Fonds Nordique pour le Développement et l’Union Internationale pour le Conservation de la Nature.
Parmi toutes les recommandations l’on pourra retenir celle qui oblige les Etats à développer une vision commune pour renforcer la résilience du littoral Ouest Africain.
Ce lancement a consisté à la présentation du programme WAKA, ses principaux axes et modalités d’intervention ainsi que les enjeux intersectoriels aux échelles locales, régionales et internationales.C’était aussi l’occasion pour définir à l’échelle des quatre premiers pays impliqués les modalités d’engagement du programme plus large de l’Afrique de l’Ouest.
L’une des menaces à laquelle les pays devraient faire face est l’élévation du niveau marin qui, selon les tendances actuelles, va continuer à s’accéléreren amplifiant le recul du trait de côte.
Par ailleurs, il est important de souligner que le phénomène d’érosion côtière dépasse le cadre purement national et nécessite des efforts communs au niveau régional.
Selon les statistiques, le littoral héberge actuellement 31% de la population ouest africaine et 51% de la population urbaine et que les scénarios, entre 74 et 83 millions de personnes résideront en zone côtière d’Afrique de l’ouest à l’horizon 2050, la mise enplace d’un plan de gestion d’investissement multisectoriel pour une meilleure coopération est indispensable.
En marge de cet atelier de lancement du projet WAKA, une réunion de haut niveau s’est tenue , le 21 octobre 2016 et a réuni les ministres en charge de l’environnement, de l’érosion côtière et de la planification du Bénin, de la Côte d’Ivoire, de la Guinée-Bissau, du Sénégal, du Ghana, du Nigeria, de la Mauritanie, de Sao Tomé-&Principes et du Togo. Les ministres ont exprimé leur satisfaction sur les résultats obtenus et ont félicité la Commission de l’UEMOA, la Banque Mondiale, le Fonds Nordique pour le Développement et l’Union Internationale pour le Conservation de la Nature.
Parmi toutes les recommandations l’on pourra retenir celle qui oblige les Etats à développer une vision commune pour renforcer la résilience du littoral Ouest Africain.
