La gestion intégrée des zones côtières en Afrique retient l’attention des experts
Les experts des pays membres de la convention d’Abidjan sur la gestion du littorale de l’Afrique de l’Ouest sont en atelier à Lomé.
En vue de mieux gérer ses ressources transfrontalières, les pays côtiers de l’Afrique occidentale, centrale et australe se sont retrouvés à Lomé du 24 au 27 mai 2016 pour le deuxième panel des experts de la convention d’Abidjan sur la Gestion Intégrée des Zones Côtières (GIZC) en Afrique de l’Ouest, du centre et du sud. Ce panel est organisé par le secrétariat de la convention d’Abidjan et le projet Biodiversité et changement climatique en Afrique de l’Ouest (WA-BICC), a l’intention d’une quinzaine d’experts des pays membres.
Il s’agit pour eux de parachever et de valider les projets de texte élaborés à Accra dans le cadre de l’adoption du protocole additionnel à la Convention d’Abidjan sur la (GIZC) en 1981. Cette convention vise à renforcer les capacités nationales pour la protection des ressources marines et à mettre en œuvre les mécanismes de coordination et de coopération par l'établissement d'un cadre d'action régional efficace.
Pour M. Abou Bamba, coordonnateur de la convention d’Abidjan, il y a énormément de problèmes sur nos côtes notamment la surpêche, la pollution la fragmentation de nos activités et la disparition des certaines écosystèmes, il a ajouté que pour une gestion durable des zones côtières et du milieu marin le protocole sur la GIZC doit être contraignant pour le bien des populations et partant des pays.
Le point focal de la convention d’Abidjan au Togo M. Abdel Ganiou Soulemane a renchéri en disant que ce document va contribuer à éradiquer l’érosion côtière, tout en ouvrant la porte à la rédaction des plans d’actions au niveau des pays, lesquels permettront à chacun d’identifier ses problèmes, puisque les réalités sur le terrain ne sont pas les mêmes. Après ce travail préliminaire le protocole sera validé à la douzième Conférence des Parties qui se tiendra en Gambie.
Les thèmes abordés au cours des trois jours ont porté sur : la biodiversité marine et côtière, le changement climatiques, l’exploitation de ressources côtières et marines et enfin la pollution et gestion de ressource en eau.
Il s’agit pour eux de parachever et de valider les projets de texte élaborés à Accra dans le cadre de l’adoption du protocole additionnel à la Convention d’Abidjan sur la (GIZC) en 1981. Cette convention vise à renforcer les capacités nationales pour la protection des ressources marines et à mettre en œuvre les mécanismes de coordination et de coopération par l'établissement d'un cadre d'action régional efficace.
Pour M. Abou Bamba, coordonnateur de la convention d’Abidjan, il y a énormément de problèmes sur nos côtes notamment la surpêche, la pollution la fragmentation de nos activités et la disparition des certaines écosystèmes, il a ajouté que pour une gestion durable des zones côtières et du milieu marin le protocole sur la GIZC doit être contraignant pour le bien des populations et partant des pays.
Le point focal de la convention d’Abidjan au Togo M. Abdel Ganiou Soulemane a renchéri en disant que ce document va contribuer à éradiquer l’érosion côtière, tout en ouvrant la porte à la rédaction des plans d’actions au niveau des pays, lesquels permettront à chacun d’identifier ses problèmes, puisque les réalités sur le terrain ne sont pas les mêmes. Après ce travail préliminaire le protocole sera validé à la douzième Conférence des Parties qui se tiendra en Gambie.
Les thèmes abordés au cours des trois jours ont porté sur : la biodiversité marine et côtière, le changement climatiques, l’exploitation de ressources côtières et marines et enfin la pollution et gestion de ressource en eau.
