La 7ème mission de suivi du PGICT au Togo



Le PGICT tire vers sa fin : qu’est ce qui reste à faire ?
Le Projet Gestion Intégrée des Catastrophes et des Terres (PGICT) prend officiellement fin en juin 2017. Cependant, certaines activités sensées prendre fins sont encore, en cours d’exécution. Pour faire tout  un atelier d’échanges sur l’état d’avancement du PGICT a regroupés une centaine d’acteurs notamment les porteurs des sous- projets,  les bénéficiaires, les agences d’appui aux initiatives de bases (AGAIG), l’unité de gestion du projet et les représentants de la Banque mondiale. C’est le ministre de l’Environnement et des Ressources forestières, M. André Johnson qui a procédé à l’ouverture ce mardi, 21 février 2017 à Lomé. Il avait à ses cotés ses collègues de l’Action sociale, de la Protection de la Femme et de l’Alphabétisation, de la Sécurité et de la Protection civile et de l’Urbanisme, de l’Habitat et du Cadre de vie.
 Financé à hauteur de 16 947 408 de dollars US, le PGICT a permis depuis 2013 de renforcer les actions du Togo en faveur de la réduction des risques et catastrophes, de la gestion durable des terres et de la lutte contre les changements climatiques. Ainsi, en dehors des appuis  institutionnels aux différents ministères impliqués, de nombreuses initiatives soient 107 projets communautaires.
«  Le PGICT tire vers sa fin (juin 2017) ce qui nous reste à  faire c’est l’appropriation  des résultats obtenus  par les bénéficiaires, leur capitalisation et voir comment les porter à échelle. Les besoins restent immenses ; et nous avons pour preuve que sur 500 demandes à peine une centaine à été sélectionné et sont en cours d’exécution » a dit le ministre Johnson.
Mme Dahlia Lotaye, spécialiste en environnement à la Banque mondiale, trouve que cette mission est importante puisqu’elle a permis d’avoir la confirmation des résultats du PGICT à travers les témoignages des communautés bénéficiaires.  
Cette 7ème  mission est plus axée sur  la stratégie de sortie des projets ainsi que sur la planification de la pérennisation des acquis.