Formation de 900 acteurs sur les techniques de gestion durable des terres
Le ministère de l’environnement et des ressources forestières (MERF) a lancé officiellement une vaste campagne de formation
de neuf cents (900) acteurs de l’administration publique, notamment de l’agriculture de l’environnement, de la société civile et des organisations paysannes sur la gestion durable des terres, les changements climatiques et la gestion des risques de catastrophes. La cérémonie a eu lieu à l’INFA de Tové dans la préfecture de Kloto. Ceux-ci répartis dans trois centres par groupe de trois cents sur l’étendue du territoire, vont appendre durant deux mois, les techniques des bonnes pratiques en gestion durables des terres. Le lancement a été présidé par le secrétaire général du MERF, M. Sama Boundjou.
C’est une initiative du Projet Gestion Intégrée des Catastrophes et des Terres (PGICT), financé par plusieurs partenaires : le groupe de la Banque Mondiale, TerrAfrica, le FEM etc.
La prévention des catastrophes et la gestion durable des terres sont deux impératifs a relevé M. Afenutsu, coordonnateur adjoint du PGICT, il s’agit d’appuyer les communautés à mettre en œuvre les pratiques plus résilientes face aux catastrophes.
Pour la durabilité des activités financées par le PGICT, les communautés à la base doivent être appuyées dans leur quotidien par des agents d’encadrements bien outillés.
«C’est une occasion qui doit nous amener à consolider les acquis du passé en passant de la phase d’adoption à la celle de la transposition à grande échelle des bonnes pratiques de gestion durable des terres » a reconnu le SG. Il a conclu en disant que gérer rationnellement les terres, c’est éviter aussi l’exode rurale.
Au terme de ces sessions, les populations se sentiront outillées pour gérer durablement leurs terres, assez protégées, face aux aléas des changements climatiques et aux catastrophes.
Que ce soit à Dapaong à Kpalimé ou à Niamtougou, ils seront par groupe de trente pour maitriser 9 modules, entre autres la pratique anti érosive, bio végétale, bio fertilisantes. Etc.
C’est une initiative du Projet Gestion Intégrée des Catastrophes et des Terres (PGICT), financé par plusieurs partenaires : le groupe de la Banque Mondiale, TerrAfrica, le FEM etc.
La prévention des catastrophes et la gestion durable des terres sont deux impératifs a relevé M. Afenutsu, coordonnateur adjoint du PGICT, il s’agit d’appuyer les communautés à mettre en œuvre les pratiques plus résilientes face aux catastrophes.
Pour la durabilité des activités financées par le PGICT, les communautés à la base doivent être appuyées dans leur quotidien par des agents d’encadrements bien outillés.
«C’est une occasion qui doit nous amener à consolider les acquis du passé en passant de la phase d’adoption à la celle de la transposition à grande échelle des bonnes pratiques de gestion durable des terres » a reconnu le SG. Il a conclu en disant que gérer rationnellement les terres, c’est éviter aussi l’exode rurale.
Au terme de ces sessions, les populations se sentiront outillées pour gérer durablement leurs terres, assez protégées, face aux aléas des changements climatiques et aux catastrophes.
Que ce soit à Dapaong à Kpalimé ou à Niamtougou, ils seront par groupe de trente pour maitriser 9 modules, entre autres la pratique anti érosive, bio végétale, bio fertilisantes. Etc.
