Faisons des réseaux sociaux, des messagers de paix
Utiliser les réseaux sociaux pour la diffusion de la culture de la paix, du dialogue et de la tolérance dans les pays du sahel
L’Organisation Islamique pour l’Education, les Sciences et la Culture (ISESCO) et la fondation Félix Houphouët Boigny pour la recherche de la paix en collaboration avec le centre Régional pour l’Education à la Culture de la paix (CRECP) ont organisé un stage de formation sur le thème «utilisation des réseaux sociaux pour la diffusion de la culture de la paix, du dialogue et de la tolérance dans les pays du sahel » Ont pris part à cette rencontre tenue à Yamoussokro, les 20 et 21 octobre 2016, les pays membres de l’ISESCO, notamment la Côte d’Ivoire, le Benin, la Guinée Conakry, le Mali, le Sénégal et le Togo.
Face aux menaces terroristes et à l’islamophobie qui sévissent dans les pays du sahel, l’ISESCO, est soucieuse et a décidé d’améliorer la performance du dialogue et de diffusion des vraies valeurs de la civilisation et de la culture islamique sur les réseaux sociaux.
Pour pouvoir contrecarrer les propos incendiaires, les rumeurs, la désinformation et les préjugés qui circulent sur les plateformes, cette organisation de promotion de la paix consciente, du rôle des réseaux sociaux dans la transmission des valeurs a trouvé nécessaire de rassembler les professionnels de la communication des pays précités pour les amener à s’approprier les sept valeurs de la paix. Ceux-ci sont invités à partager leurs expériences, élaborer une stratégie de communication et à proposer par ailleurs des messages tout en identifiant des réseaux sociaux les plus usuels en termes de nombres d’internautes en particulier les plus fréquentés par les jeunes.
Après trois importantes communications, suivies de travaux en commissions, des recommandations ont été formulées à l’endroit de l’ISESCO et de ses partenaires. Il s’agit d’intégrer la culture de la paix dans les cursus de formation des journalistes africains dans les centres ISESCO, de renforcer leurs capacités à travers des ateliers nationaux avec l’appui des experts du CRECP. Par ailleurs il faudrait mettre à la disposition des professionnels de médias, tous supports faisant la promotion de la culture de la paix tout en créant un réseau systémique avec les organisations professionnelles de journalistes. Il faut aussi former les journalistes au fondement de l’islam, enfin il est impérieux de donner la parole aux leaders religieux pour qu’ils puissent expliquer leur version des faits et lutter contre les extrémistes.
Les participants avant de se séparer ont pris le ferme engagement d’accompagner l’ISESCO à promouvoir la culture et la diffusion de la paix à travers les Technologies de l’Information et de la Communication (TIC).
Les réseaux sociaux étant perçus comme un moyen d’interpénétration interculturelle, inter sociétale et un pouvoir de mobilisation sans limite, des messages clairs ont été retenus et seront diffusés au moment venu pour ramener la paix là où elle est menacée.
Face aux menaces terroristes et à l’islamophobie qui sévissent dans les pays du sahel, l’ISESCO, est soucieuse et a décidé d’améliorer la performance du dialogue et de diffusion des vraies valeurs de la civilisation et de la culture islamique sur les réseaux sociaux.
Pour pouvoir contrecarrer les propos incendiaires, les rumeurs, la désinformation et les préjugés qui circulent sur les plateformes, cette organisation de promotion de la paix consciente, du rôle des réseaux sociaux dans la transmission des valeurs a trouvé nécessaire de rassembler les professionnels de la communication des pays précités pour les amener à s’approprier les sept valeurs de la paix. Ceux-ci sont invités à partager leurs expériences, élaborer une stratégie de communication et à proposer par ailleurs des messages tout en identifiant des réseaux sociaux les plus usuels en termes de nombres d’internautes en particulier les plus fréquentés par les jeunes.
Après trois importantes communications, suivies de travaux en commissions, des recommandations ont été formulées à l’endroit de l’ISESCO et de ses partenaires. Il s’agit d’intégrer la culture de la paix dans les cursus de formation des journalistes africains dans les centres ISESCO, de renforcer leurs capacités à travers des ateliers nationaux avec l’appui des experts du CRECP. Par ailleurs il faudrait mettre à la disposition des professionnels de médias, tous supports faisant la promotion de la culture de la paix tout en créant un réseau systémique avec les organisations professionnelles de journalistes. Il faut aussi former les journalistes au fondement de l’islam, enfin il est impérieux de donner la parole aux leaders religieux pour qu’ils puissent expliquer leur version des faits et lutter contre les extrémistes.
Les participants avant de se séparer ont pris le ferme engagement d’accompagner l’ISESCO à promouvoir la culture et la diffusion de la paix à travers les Technologies de l’Information et de la Communication (TIC).
Les réseaux sociaux étant perçus comme un moyen d’interpénétration interculturelle, inter sociétale et un pouvoir de mobilisation sans limite, des messages clairs ont été retenus et seront diffusés au moment venu pour ramener la paix là où elle est menacée.