Des plumes pour protéger les forêts
Le REDD+ renforce les capacités des journalistes
Quarante-cinq (45) professionnels de la région maritime sont en formation à Jess hôtel à Lomé, sur le projet de réduction du gaz à effet de serre due à la déforestation et à la dégradation des forêts (REDD+). Une formation de trois jours, du 27 au 29 juin 2016 et qui s’inscrit dans le cadre de la conduite du processus de préparation du REDD+. Cette session de Lomé commune est la dernière étape, après celles tenues dans les cinq régions économiques du Togo. La cérémonie d’ouverture a été présidée par le ministre de l’Environnement et des Ressources forestières, M. André Johnson.
Cette formation vient renforcer les capacités des journalistes sur le processus REDD+, comment le travail se fait sur le terrain et surtout la manière dont ces derniers doivent appuyer la coordination à travers les émissions qu’ils doivent animer pour mieux informer et sensibiliser les différentes cibles. Par ailleurs c’est de les amener à mieux jouer leur rôle régalien qui est celui d’informer, de sensibiliser et d’éduquer, il faut que les journalistes soient eux-mêmes formés. C’est justement l’intérêt de cet atelier d’échanges.
Le REDD+ vise la conservation de la biodiversité, l’aménagement des forêts, l’accroissement du patrimoine forestier à travers le reboisement cependant, les parties prenantes impliquées dans ce processus ont souvent des perceptions et des attentes très différentes. Ceci étant, il faut dès la première phase associer pleinement les parties prenantes à toutes les étapes jusqu’à la mise en œuvre de la stratégie REDD+ en 2018.
La progression rapide de la déforestation et de la dégradation des écosystèmes forestiers au Togo qui est de 5,8% préoccupe au plus haut niveau les autorités togolaises. C’est pour cela que la REDD+ a été reconnue comme un important moyen de réduction des émissions des gaz à effet de serre mais aussi, dans une large mesure, comme une opportunité pour bénéficier des divers services écologiques, économiques et sociaux offerts par la forêt a souligné le ministre André Johnson.
La REDD+ étant conçue pour faire frein aux changements climatiques, a été le premier module. Ce dernier a touché tous les contours, notamment, les causes, les conséquences, les solutions, le mécanisme du REDD+. D’autres modules comme ; les responsabilités des médias, l’accompagnement et l’engagement des médias au processus et bien d’autres sujets suivi de débats ont meublé les trois jours de travaux.
Cette formation vient renforcer les capacités des journalistes sur le processus REDD+, comment le travail se fait sur le terrain et surtout la manière dont ces derniers doivent appuyer la coordination à travers les émissions qu’ils doivent animer pour mieux informer et sensibiliser les différentes cibles. Par ailleurs c’est de les amener à mieux jouer leur rôle régalien qui est celui d’informer, de sensibiliser et d’éduquer, il faut que les journalistes soient eux-mêmes formés. C’est justement l’intérêt de cet atelier d’échanges.
Le REDD+ vise la conservation de la biodiversité, l’aménagement des forêts, l’accroissement du patrimoine forestier à travers le reboisement cependant, les parties prenantes impliquées dans ce processus ont souvent des perceptions et des attentes très différentes. Ceci étant, il faut dès la première phase associer pleinement les parties prenantes à toutes les étapes jusqu’à la mise en œuvre de la stratégie REDD+ en 2018.
La progression rapide de la déforestation et de la dégradation des écosystèmes forestiers au Togo qui est de 5,8% préoccupe au plus haut niveau les autorités togolaises. C’est pour cela que la REDD+ a été reconnue comme un important moyen de réduction des émissions des gaz à effet de serre mais aussi, dans une large mesure, comme une opportunité pour bénéficier des divers services écologiques, économiques et sociaux offerts par la forêt a souligné le ministre André Johnson.
La REDD+ étant conçue pour faire frein aux changements climatiques, a été le premier module. Ce dernier a touché tous les contours, notamment, les causes, les conséquences, les solutions, le mécanisme du REDD+. D’autres modules comme ; les responsabilités des médias, l’accompagnement et l’engagement des médias au processus et bien d’autres sujets suivi de débats ont meublé les trois jours de travaux.
