André Johnson poursuit ses activités de terrain dans les plateaux
La visite des projets et sous-projets communautaires du PGICT par le ministre se poursuit dans les préfectures d’Agou, du Haho et de l’Ogou
Dans la région des plateaux, le PGICT a également financé plusieurs sous projets communautaires. Le ministre de l’Environnement et des Ressources Forestières en a visité trois le 27 janvier 2017. Il s’agit des sous-projets communautaires dans les localités d’Adzrapo dans la préfecture de l’Agou, d’amakpapé dans celle du Haho et à Talo, un quartier dans la ville d’Atakpamé.
A Adzrakpo, le sous-projet de renforcement de la résilience de la communauté d’adzrakpo a retenu l’attention du ministre. Ici c’est un travail de génie rural qui a été exécuté. Une piste de 6 km ouverte pour désenclaver 12 villages avec deux ponts construits. Ces ouvrages vont faciliter l’accès des élèves à l’école d’une part et d’autre part pour permettre aux populations de pouvoir accéder aux marchés d’Amoussoupé pour la vente leurs produits agricoles. On note également la construction de quatre points d’eau alimentés à partir d’une mini adduction d’eau raccordé à un grand forage.
Le ministre accompagné des préfets d’Agou et de Kloto se sont réjouis du travail accompli avec l’implication des populations qui ont déjà pensé à l’après PGICT. Selon M. Ganyo Mensah, porte-parole de la population, un comité de gestion est déjà mis en place. Les activités de maraichage sur 2 hectares ont aussi commencé. 35 hectares de teck ont été aussi reboisés. Toutes ces activités ont coûté une somme de 145 835 116 F CFA, un appui non remboursable du gouvernement togolais à travers la Banque mondiale.
La forêt Yaya du nom de son initiateur, est un écosystème de 200 hectares, géré par l’Association des Partisans de Lutte pour l’Environnement (AS. PA. LU. PE). Au nombre des activités financées par le PGICT à hauteur de 44 389 603 F CFA, il y a la construction d’une salle de réunion, 20 ruches, 14000 alevins ensemencés dans trois retenues d’eau munies de filets de protection. D’autres activités sont en cours avec la définition des axes de recherche écologique avec l’Université de Lomé. Le ministre et le préfet du Haho ont encouragé l’AS. PA. LU. PE pour la gestion durable de sa forêt.
Le centre de secours des sapeurs-pompiers d’Atakpamé en pleine finition reçoit, en dernière position la visite du ministre.
Considérant l’ensemble des trois sites visités, le ministre se dit satisfait de l’état d’avancement des activités du PGICT qui concourent au bien-être des populations et la gestion durable des ressources naturelles. Par contre, le ministre a fait des recommandations dans la finition de la caserne des sapeurs-pompiers. Pour lui des engagements doivent être respectés par le maître d’ouvrage délégué pour éviter les problèmes lors de la réception définitive.
A Adzrakpo, le sous-projet de renforcement de la résilience de la communauté d’adzrakpo a retenu l’attention du ministre. Ici c’est un travail de génie rural qui a été exécuté. Une piste de 6 km ouverte pour désenclaver 12 villages avec deux ponts construits. Ces ouvrages vont faciliter l’accès des élèves à l’école d’une part et d’autre part pour permettre aux populations de pouvoir accéder aux marchés d’Amoussoupé pour la vente leurs produits agricoles. On note également la construction de quatre points d’eau alimentés à partir d’une mini adduction d’eau raccordé à un grand forage.
Le ministre accompagné des préfets d’Agou et de Kloto se sont réjouis du travail accompli avec l’implication des populations qui ont déjà pensé à l’après PGICT. Selon M. Ganyo Mensah, porte-parole de la population, un comité de gestion est déjà mis en place. Les activités de maraichage sur 2 hectares ont aussi commencé. 35 hectares de teck ont été aussi reboisés. Toutes ces activités ont coûté une somme de 145 835 116 F CFA, un appui non remboursable du gouvernement togolais à travers la Banque mondiale.
La forêt Yaya du nom de son initiateur, est un écosystème de 200 hectares, géré par l’Association des Partisans de Lutte pour l’Environnement (AS. PA. LU. PE). Au nombre des activités financées par le PGICT à hauteur de 44 389 603 F CFA, il y a la construction d’une salle de réunion, 20 ruches, 14000 alevins ensemencés dans trois retenues d’eau munies de filets de protection. D’autres activités sont en cours avec la définition des axes de recherche écologique avec l’Université de Lomé. Le ministre et le préfet du Haho ont encouragé l’AS. PA. LU. PE pour la gestion durable de sa forêt.
Le centre de secours des sapeurs-pompiers d’Atakpamé en pleine finition reçoit, en dernière position la visite du ministre.
Considérant l’ensemble des trois sites visités, le ministre se dit satisfait de l’état d’avancement des activités du PGICT qui concourent au bien-être des populations et la gestion durable des ressources naturelles. Par contre, le ministre a fait des recommandations dans la finition de la caserne des sapeurs-pompiers. Pour lui des engagements doivent être respectés par le maître d’ouvrage délégué pour éviter les problèmes lors de la réception définitive.
