Les risques biotechnologiques
Désormais la biosécurité sera prise en compte dans les plans et programmes sectoriels
Un atelier de validation du plan d’action pour l’intégration de la prévention des risques biotechnologiques dans les politiques et plans sectoriels initié par le ministère de l’environnement et des ressources forestières a ouvert ses travaux dans l’enceinte de l’ODEF à Lomé. Les participants issus de plusieurs secteurs, vont en deux jours examiner et adopter le dit plan.
Depuis l’avènement des biotechnologies modernes, le Togo à l’instar des autres pays africains s’est battu pour construire un système national de biosécurité dans le but d’exploiter en toute sécurité les nombreuses possibilités offertes par ces nouvelles technologies.
Si le Togo a fait des efforts depuis la ratification du protocole de Cartagena au plan international en 2000, il existe encore d’importants défis liés à la prise en compte de la biosécurité dans les documents sectoriels.
Cette activité bénéficie de l’appui du Japon dans le cadre de la mise en œuvre intégrée du protocole de Cartagena, du protocole additionnel de Nagoya-Kuala Lumpur sur la responsabilité et la réparation et la convention sur la diversité biologique ».
Ce document soumis à validation a dit M. Okoumassou Kotchikpa, permettra au gouvernement d’honorer ses engagements vis à vis de la communauté internationale, mais aussi de disposer d’un document de planification cohérent des actions à conduire en matière de prévention des risques biotechnologiques.
« Le protocole de Cartagena permet à ce que les Etats puissent respecter un certain nombre de mesures appelées la biosécurité afin d’éviter que la biotechnologie, n’engendre pas de risque sur la santé humaine, animale, et l’environnement. Les grands défis, au niveau du Togo sont entre autres l’adoption de la loi, le renforcement des capacités, la maitrise de l’utilisation des équipements de laboratoire logés à l’ITRA et la mise en place des organes de gestion » A affirmé M. Anthé Komi, point focal du protocole de Cartagena.
Depuis l’avènement des biotechnologies modernes, le Togo à l’instar des autres pays africains s’est battu pour construire un système national de biosécurité dans le but d’exploiter en toute sécurité les nombreuses possibilités offertes par ces nouvelles technologies.
Si le Togo a fait des efforts depuis la ratification du protocole de Cartagena au plan international en 2000, il existe encore d’importants défis liés à la prise en compte de la biosécurité dans les documents sectoriels.
Cette activité bénéficie de l’appui du Japon dans le cadre de la mise en œuvre intégrée du protocole de Cartagena, du protocole additionnel de Nagoya-Kuala Lumpur sur la responsabilité et la réparation et la convention sur la diversité biologique ».
Ce document soumis à validation a dit M. Okoumassou Kotchikpa, permettra au gouvernement d’honorer ses engagements vis à vis de la communauté internationale, mais aussi de disposer d’un document de planification cohérent des actions à conduire en matière de prévention des risques biotechnologiques.
« Le protocole de Cartagena permet à ce que les Etats puissent respecter un certain nombre de mesures appelées la biosécurité afin d’éviter que la biotechnologie, n’engendre pas de risque sur la santé humaine, animale, et l’environnement. Les grands défis, au niveau du Togo sont entre autres l’adoption de la loi, le renforcement des capacités, la maitrise de l’utilisation des équipements de laboratoire logés à l’ITRA et la mise en place des organes de gestion » A affirmé M. Anthé Komi, point focal du protocole de Cartagena.